La religion est aussi vieille que l’homme lui-même. Il a joué un rôle majeur dans la naissance et le développement de la civilisation. Pour des siècles, ont essayent d’identifier c’est quoi la religion mais avec des possibilités infinies ont concluent que c’est une expérience spirituelle et personnelle qui est différent pour chaque personne. Il explore la cause et le but de notre existence. La religion c’est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacré ou la divinité. La religion peut être définie par ses trois grandes caractéristiques : Les croyances et les pratique religieuses, le sentiment religieux ou la foi et l’union dans une même communauté de ceux qui partagent une même foi; l’Église. Bien que les romans «Marie Calumet» par Rodolphe Girard et «Un homme et son péché» écris par Claude-Henri Grigon partagent un thème similaire, les deux livres ont des tonalités et implications différentes qui contribuent à le développement du thème principale, la religion, à travers des personnages principales et contexte historique.
Contexte
(Joseph-Octave-Louis) Rodolphe Girard est né à Trois-Rivières, au Québec, le 24 Avril 1879. Il a étudié à l'Académie commerciale catholique de Montréal (1891-1894) et le Collège de Montréal (1894-1898). Alors qu'il était encore étudiant, il compose son premier roman, «Florence» en 1900, qui a été inspiré par la rébellion de 1837-1838, lorsque les Canadiens Français et Canadiens Anglais luttaient contre les colonies d’Angleterre. Il devenu journaliste à La Patrie en 1899 et pour La Presse. Pendant sont temps de publication de nouveau pièces de littératures, Girard épousa Regina Lefaivre en 1901. Après son mariage, il publie «Mosaique», une collection d'histoires courtes et joue dans cinq de ses pièces qui seraient effectués à Montréal entre 1902 et 1912. Lorsque Marie Calumet, son roman plus connus, a été publié en 1904 et dénoncé par l'archevêque de Montréal, il a été licencié par La Presse et rejoint le personnel du journal Le Temps d'Ottawa. Après la mort de sa femme en 1911, il épousa Cécile Archambault l'année suivante. Mais, il était non seulement un écrivain exceptionnel mais aussi un homme fier de ses racines canadiennes. Pendant la Première Guerre mondiale Girard servi dans le Corps Forestier Canadien, devenant un lieutenant-colonel et a été décoré deux fois. Il a été un contributeur prolifique aux journaux et magazines et l'édition de plus de 400 histoires courtes. Il est connu aujourd'hui surtout pour l'irrévérencieux «Marie Calumet», mais en son temps, il a été reconnu comme un des principaux défenseurs de la langue française, des organismes culturels, une figure militaire, et comme un bon orateur au publique.
Claude-Henri Grigon est né à Sainte-Adèle, au Québec le 8 Juillet 1894. Après des études partielles au Collège Saint-Laurent, Montréal, il a déménagé à Montréal et est devenu fonctionnaire. De 1916 à 1939, il écrit des articles pour divers journaux, mais il revient à la région des Laurentides en 1936 et a commencé une deuxième carrière en tant qu'écrivain de radio. En tant que journaliste, Grignon a été un polémiste bien connu et un nationaliste sincère. Il a recueilli certaines critiques sur ses livres et de nombreux critiques sur la littérature dans Ombres et Clameurs: Regards sur la littérature canadienne (1933). De 1936 à 1943, il publie un périodique seul, notoires et les plus lus, «Les pamphlets de Valdombre», ce qui révèle plutôt ses idées conservatrice de politiques et littéraires et transmet l'idéal d'une littérature canadienne-française basée sur le régionalisme. Ceci a été suivi par l'important roman «Un homme et son Péché» (1933), qui a été réimprimé et traduit plusieurs fois. Il meurt à Sainte-Adèle, après quelques années de maladie, en 1976 mais ses pièces de littératures resteront des classiques dans l’histoire de la littérature canadienne-française.
Résumé
Roman réaliste et satirique, «Marie Calumet» se déroule dans les années 1860. L’auteur y raconte l’arrivée et l’installation de l’héroïne, une femme de fière allure et à la langue bien pendue. Dès son entrée en service, elle transforme la vie quotidienne de tout le village. Elle éveille la sexualité de l’homme engagé de l’abbé Flavel, curé de Saint-Ildefonse, une petite municipalité rurale imaginaire. Rien d’indécent ni de provocant dans cette évocation, sous forme de tableaux réalistes, de la vie quotidienne d’une paroisse agricole du Québec au milieu du siècle dernier. Après une foule de péripéties, toutes plus drôles les unes que les autres, la ménagère accorde sa main à l’homme engagé, Narcisse, ce qui amène le bedeau, Zéhpirin, à se venger: lors de la préparation du repas nuptial, ce dernier ajoute au ragoût un puissant laxatif, forçant ainsi les invités à quitter précipitamment la table. Marie a une admiration exagérée pour toutes les choses liées à l'Église et ses prêtres. Lors de la visite pastorale de l'évêque, elle demande où placer Monseigneur «sainte pisse» (trouvé à la page 92 du livre), après avoir réfléchi si vous souhaitez l'enregistrer, et porter une crinoline et aucun des sous-vêtements à la fête de la moisson, elle trébuche sur une racine noyer et scandalise le pasteur. Un autre épisode scandaleux se produit lorsque la nièce adolescente du pasteur lit les versets les plus sensuelles (prenant treize pages dans le roman) de la version Ostervald JF, du «Cantique des Cantiques»[1], qui avait été interdit aux masses. Je suis à mon bien-aimé, et son désir tend à moi.
«Mets-moi comme un cachet sur ton cœur, comme un cachet sur ton bras. L’amour est fort comme la mort, et la jalousie est dure comme le sépulcre ; leurs embrasements sont des embrasements de feu et une flamme très véhémente. Beaucoup d’eaux ne pourraient éteindre cet amour-là, et les fleuves mêmes ne le pourraient pas noyer ; si quelqu’un donnait tous les biens de sa maison pour cet amour-là, certainement on n’en tiendrait aucun compte.»[2]
Ces scènes et d'autres sont décrits par Girard à la fois satirique et humoristique. Cette scène carnavalesque, tout comme celle où, Marie Calumet montre ses atouts secrets à toute la communauté rassemblée à un pique-nique, ne semble pas avoir été prisée par l’archevêque de Montréal, qui condamne le roman au moment de sa publication.
Nous obtenons une vue sur le mariage réussi de Séraphin Poudrier (âgé 40) et Donalda (âgée 23), bien qu’il manque de romance. L'histoire se déroule au 19ème siècle dans la région de Saint-Adèle, Québec. Séraphin, un homme d'affaires et un cultivateur est connu pour être égoïste, insensible et très avarice quand il s'agit de l'argent et les dépenses. Donalda est une jeune femme qui travail fort et est intelligente. Elle travaille jour et nuit pour Séraphin pour lui plaire. Parce que son père n'avait pas payé un billet de l'argent emprunté à Poudrier, il échange la main de sa fille en mariage à Séraphin car son incapacité à payer la dette. Séraphin cache trois sacs de grain dans une chambre à l'étage verrouillée qui contient véritablement ses objets de valeur qu'il semble aimer plus que toute autre chose dans le monde. Séraphin décide, par souci d’économie, de ne pas aimer Donalda, pas même physiquement. Il a vu des hommes dépenser tout leur argent et perdre la tête pour des jolies femmes. Il s’évite un tel comportement en transformant sa jolie et jeune femme en bête de somme. Au courant de toute l’histoire, ils ne se nourrissent que de galettes et de soupes de cartilage, préparées pour la semaine. Ils économisent sur le bois de chauffage, le linge, la nourriture et même les soins. En effet, lorsque Donalda tombe malade, Séraphin, voulant éviter le prix d’une consultation par le docteur, laisse trainer les choses, persuadé, ou plutôt espérant, qu’elle se remettra d’elle-même. Ce n’est que plusieurs jours plus tard, lorsque son cousin Alexis, vient rendre visite à Séraphin que le médecin sera contacté. Malheureusement c’est trop tard. Le lecteur assiste à la mort lente et douloureuse de cette pauvre Donalda qui, en une année de mariage, ressemble déjà à une vieille femme tant le vice de cet homme a rendu ses conditions de vie difficiles. Séraphin, en espérant d’économiser l’argent pendent le funéraire de Donalda, la place dans un vieux cercueil qui était trop court pour elle. La vie de Séraphin termine soudainement lorsqu’un de ses vaches tombe à l’eau et qu’il tentera de la sauver, sa maison brûlera et Séraphin mourra dans les flammes alors qu’ils essayent de sauver ses pièces d’or qu’il cachait dans les sacs de graines.
Compte rendu critique
Rodolphe Girard et Guy de Maupassant sont des écrivains qui se rejoignent sur plusieurs points. Un des principaux étant leur désir de présenter les lacunes de la direction de la religion et son influence sur le peuple de l’époque. Au 19e siècle, le Québec domine une époque où la religion est omniprésente et extrêmement sévère. À l’aide d’une écriture réaliste, chacun des deux auteurs présentent des personnages qui, de par leur traits naïfs et propres au peuple de l’époque et du terroir, ont su en choquer plus qu’un. C’est à l’aide de personnages principaux que nos deux auteurs présentent cette réalité dans chacune de leurs œuvres, le roman «Marie Calumet» de Rodolphe Girard et «Un homme et son Péché» par Maupassant. Nous allons voir à travers de Marie et Séraphin comment les deux auteurs présente le thème de la religion dans leurs roman-du-terroir.
Pour débuter, il ne fait pas de doute que l’apparence de chacune de nos personnages prouve bien leur appartenance au terroir. Dans «Marie Calumet», Girard présente son personnage comme une femme imposante et travaillante. Il est vrai d’affirmer qu’elle est présentée comme caractère typiques du terroir. Nous l’avons vue aussi avec Donalda, la femme de Séraphin dans le roman de Grignon, qu’elle aussi partage les mêmes caractères. Nous voyons dès l’arriver de Marie l’impacte qu’elle portera à la communauté catholique. Non seulement elle apporte de l’énergie à la communauté, mais elle a aussi contribué à maintenir l’Église ensemble quand leur religion était en train de s’effondrer. Cela démontre comment beaucoup d’influence on peut avoir sur les autres, et comment la religion peut avoir un impact sur chacun de nous en tant que communauté. Mais la religion peut aussi avoir un aussi gros impact sur nous personnellement en tant qu’individu.
Nous voyons avec Séraphin comment son péché, l’avare, lui contrôle la vie dans le sens qu’il fait tout ses décisions dépendant de sa situation financière. Il est un personnage qui se contrefit, souvent en s’appuyant sur la religion quand il voit et consulte son argent et l’or comme si c’était Dieu. Plutôt que de demander de l’aide ou des conseils à travers la spiritualité, il s’appuie sur son argent pour aider à rendre ses décisions pour lui. Au contraire, nous voyons combien sa vie est un oxymore. Un homme qui est fortement influencé sur la religion se tourne vers le seul amour de sa vie; ses richesses. Par exemple, vers la fin du roman, Claude-Henri Grignon nous fait comprendre que Séraphin Poudrier n`a pas été trop touché par la mort de sa femme. Au contraire, il est content d`avoir moins à dépenser pour la nourriture et les vêtements. Son but est de nous montrer comment l’égoïsme nous rend ignorants envers la vie et l’amour de nos proches. «Une bonne femme, mais qui aurait fini par me coûter cher. Elle était extravagante, les derniers temps.» Ces paroles de Séraphin appuient le message de l’auteur. Grâce à Séraphin, nous voyons combien la religion peut nous guider, même si nous sommes consumés par nos péchés.
Les deux romans ont bien démontré comment la religion peut avoir une influence sur la vie durant l’époque du terroir en plusieurs différentes façons directes et indirectes. Avec l’aide des personnages principale, nous sommes en mesure de voir comment la religion peut avoir un impact sur nos vies si c’est un combat contre toute la communauté ou une lutte avec soi-même et nos démons personnelle.
Critique interne
Quand Marie Calumet a été publié en 1904, 1000 exemplaires ont été vendus presque immédiatement, mais elle a été condamnée par l'Église comme «brut, immorale et impie». Même dans la version révisée, cependant, le roman donne une représentation réaliste des coutumes, la langue et la moralité du Québec vers 1860. Marie Calumet est le premier grand roman canadien-français pour traiter l'Église et le clergé d'une manière humoristique. Marie Calumet a une intrigue simple avec un thème relativement évidente, la religion. Comme nous le lisons au long du récit sur la façon dont Marie influence la vie de la communauté catholique, nous avons vite oublié que le livre est un œuvre de fiction accordé de personnage réalistes, naïfs mais sensible et chaleureux qui grandissent spirituellement et émotionnellement. Parmi les passages ridiculement drôle, c’était très difficile de lire le roman.
«–i est mort !... i est mort !...
– Eh oué, mamzelle Marie, i est mort, mais faut s’faire une raison, un goret, batêche ! c’est toujours ben ainq’un goret !»[3]
Le vieux langage et les expressions burlesques deviennent endormants à la langue. Girard a réussi à divertir une écriture comique qui démontre bien la culture canadienne-française à travers la religion. Bien que le roman a obtenu plusieurs critiques négatifs et que son contenu a reçu l’attention du clergé de l’époque et les plusieurs refus de publication, il se révèle à être une lecture vraiment divertissant. Il y avait plusieurs critiques négatifs pour ses livres, mais Girard prouve davantage qu’il est un écrivain mémorable.
Claude-Henri Grignon démontre évidement le thème de la religion dans le roman «Un homme et son Péché». Ont apprends rapidement que Séraphin s’obsède de l’argent et des richesses, alors qu’il souffre de l’avarice. Déjà, ont est introduit avec la religion, en concluant que le personnage principale souffre d’un des sept péchés mortelles. Grignon écrit de façon simplement et directement, au contraire du style de Girard, où il fallut sortir le dictionnaire plusieurs fois. Ce livre a été une lecture vite et très inspirante. Dans «Un homme et son Péché» ont apprends bien les conséquences de nos mauvaise choix. Bien que le ton et style de Grignon était vraiment dépressive et passive agressive, nous avons bien compris l’attitude et la mentalité du personnage principale, Séraphin. Bien que le message de ce livre est clairement évidente à travers de tout le roman, il nous permet, les lecteurs, d’être reconnaissants pour ce que nous avons et continuent d’être fidèles à notre foi, afin de détourner de nos péchés.
Critique externe
Les deux roman fait rapport avec notre histoire en tant que canadien français catholique. Comme le thème principal est la religion, les deux livre touchent directement les gens lors d’une époque de terroir dominé par la religion catholique, l’Église et le clergé.
Dans les années trente, les conditions économiques étaient difficiles, les gens, habitués aux exagérations des années folles, se sont butés à la crise économique du fameux jeudi noir. Ils n’eurent pas le choix de développer leur sens de l’économie pour s’en sortir. C’est dans ces conditions ardu que Claude-Henri Grignon publia «Un homme et son péché» en 1933. Le récit d’un homme avare et des misères qu’il inflige à sa femme dans le but de conserver son argent dans des ses poches. L’excessivité des personnages est nettement perceptible par plusieurs points. La femme du gratte cenne est une femme modeste et normale sous un certain angle, cependant, elle est excessive dans son travail et ses tâches ménagères. Séraphin, son mari, tant qu’à lui, est un homme excessif tant envers son argent qu’envers sa femme.
Le livre représente, dans une perspective sociologique, les conséquences de la crise économique des années trente, symbolisée par l'égoïsme avare Séraphin Poudrier, et la domination masculine sur les femmes, symbolisé par le traitement cruel et la mort qui a suivi la femme de Séraphin. Sa force réside dans son style réaliste et dans la représentation de la relation sadomasochiste de l'époux lascif et l'épouse soumise. La série dramatique a élargi le roman en une plus grande image de la vie rurale au Québec.
En 1760, les troupes britanniques conquièrent la Nouvelle-France, et ils accaparent les pouvoirs économiques et politiques. Le puissant Empire britannique naît du Traité de Paris de 1763. La France abandonne le Québec, au lieu de le protéger contre les Anglais. Toutefois, comme les Anglais se sentent menacés au sud par les Américains, ils pratiquent une politique de conciliation avec les Canadiens français, et ils leur permettent de conserver leur langue, leur religion et leur système judiciaire. Les Canadiens français essayent de défendre leurs intérêts sans se révolter contre le système britannique, mais comme il arrive très souvent que les Anglais ne prennent pas en considération leurs demandes, ils veulent se séparer radicalement des Anglais.
La Rébellion de 1837 est un mouvement d’affirmation nationale, mais les Canadiens français essuient un échec. Après cette défaite, c’est le clergé qui va diriger le peuple, et qui va fonder l’idéologie de conservation. Cette idéologie est très bien observable dans les romans du terroir. Pour éviter la réunion avec les Anglais, les Canadiens français s’enfuient dans les campagnes, où ils mènent une vie conservatrice : ils s’attachent fortement à la religion et l’agriculture.
Après la Rébellion, le pouvoir du clergé sur les Canadiens français se renforce d’autant plus. Le clergé s’oppose fortement à ceux qui mettent en question son pouvoir. Du milieu du XIXe siècle jusqu’aux années 1960, l’Église joue un rôle prépondérant aussi dans la vie politique, dans les débats politiques. Elle n’apporte pas seulement de la consolation aux souffrances morales, mais elle aide aussi le peuple à résoudre ses difficultés financières. Pour le clergé, il est très important que les Canadiens français remplissent une mission providentielle, c’est-à-dire qu’ils doivent attirer l’attention de tout le monde à la vraie richesse qui n’est pas matérielle, mais surtout morale et religieuse. Par la suite, on voit que dans la plupart des romans du terroir, la religion prend une place très importante.
Quelques romans, dits anti-terroir, présenteront une vision négative de cette mission. C'est le cas de Marie-Calumet dans lequel on se moque allégrement du clergé. Nous voyons à quel impact l’Église avait sur le peuple durant les fins des années 1800s. Alors qu’elle démontre une attitude inacceptable envers le clergé et les gens de la communauté religieuse, nous apprenions la valeur de l’Église catholique pendant cette époque et comment de contrôle la religion avait sur les choix et mode de vie des canadien-français.
La religion; libère t’elle les hommes?
Les deux romans démontrent les différentes façons que la religion peut avoir une influence sur la vie quotidienne. Dans «Marie Calumet», nous voyons comiquement comment l’Église catholique avait un impacte sur les communautés canadiens-français dans les années tard des 1800s à la région rurale du Québec. Par contre, «Un homme et son Péche» démontre un aspect plus sombre et sinistre sur la façon dont la religion nous touche personnellement. Alors que Séraphin obsède par son péché, l’argent, il se trouve dans une lutte contre sa conscience. Nous apprenons que parfois la religion apporte l'humanité et la divinité dans le foyer (mais pas dans le cas de Séraphin où l’avare lui prends contrôle) et où la religion unit les gens dans une foi commune avec les voisins. La religion prouve à être également un outil qui maintiens les communautés et familles ensemble mais c’est aussi parfois ce qui peut détruire l’homme.
Auraient-ils un moyen d’expliquer l’intervention de la religion dans la vie des hommes? Comme nous grandissons, nous apprenons de nos parents, des enseignants et la société ce qui est la religion. Nous voyons par exemple comment la religion peut influencée une communauté comme dans «Marie Calumet» ou au contraire comment la religion peut grandement nous toucher individuellement comme dans «Un homme et son Péché». Peu importe la façon dont la religion nous influence chacun personnellement, il est loin préférable d’être libre et se donner parfois à la négligence, de laisser tomber les barricades de la peur et de se tenir debout et affronter l’avenir avec un sourire.
[1] Cantiques des Cantiques. Ancient Testament. Partie 8, lines 6-8.
[3] RODOLPHE, Girard. Marie Calumet. Montréal, Québec : Réédition Québec, 1969. Page 126.
bibliographie:
Livres
Girard, Rodolphe. Marie Calumet. Montréal, Québec : Réédition Québec, 1969.
Grignon, Claude-Henri. Un homme et son Péché. Montréal, Québec : Éditions du Vieux Chêne, 1936.
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Autres
Notes de classe l’Histoire des Canadiens-Français.