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jeudi 7 avril 2011

Analyse de « Le Horla » écrit par Guy de Maupassant

En 1887, Guy de Maupassant publie une histoire qui a prit le monde par surprise.  Le Horla est un texte du style littéraire fantastique mise en France au 19ième siècle.  Dans ce texte écrit sous fourme de journal intime de la première personne, le narrateur est hanté par les incertitudes et les doutes d’un être invisible et surréel.  Tout au long de l’histoire, il se questionne c’est quoi le mystère de l’invisible et se demande pourtant s’il est lucide ou fou.  L’être mystérieux ne peut pas être entendu ni vu, en fait le narrateur le décrit comme le vent.  Vous ne pouvez pas le voir, mais vous pouvez le sentir pour savoir qu’il est là.  C’est un pigment de son imagination, par conséquent, lui seul peut le sentir.  L’inexplicable mystère de l’invisible dérange le narrateur à un point où il questionne sa santé mentale.  Il devient bientôt effrayé et inconfortable ainsi que sa curiosité pour la compréhension de cette puissance se manifeste en quelque chose plus grave.  L’obsession de découvrir l’existence d’un être inconnu et palpable provoque le thème de la folie. 

Mais, ce n’est qu’en quelque jour qu’il commence à ressentir des émotions étranges.  Au début de l’histoire, le narrateur décrit l’environnement qui l’entoure comme être beau et paisible.  Après qu’il tombe malade avec ce qu’il croit et une fièvre, il devient soudainement malheureux.  Suite à une rencontre futile chez le médecin, il décida d’aller en voyage, espérant que ses esprits égayeront. Plusieurs semaines se passe pendant son ennui et il devient bientôt paranoïde avec une puissance surnaturel qui lui honte.  Il essaye désespérément de se débarrasser de se pouvoir mystérieux en croyant qu’il va lui porter du mal.  Malgré plusieurs méthodes infructueuses, il décida donc de brûlée sa maison en espérant que l’énergie va lui quitter après l’avoir fait.


Alors que sa maison est maintenant détruite, il ne reste pas convaincu que le mystère de l’invisible s’est échappé.  Ce mystère vite lui rend de plus en plus déprimé  comme il ne sait plus comment lui débarrasser.  Au courant des trois mois, cette puissance lui a rendu émotionnellement et mentalement instable.  Exaspéré par ses actions nulles qui n’aident pas à son embêtement psychologique, il décide donc que la seule façon de s’échapper du malheur est le suicide.  Le surnaturel, un étranger dans la réalité du narrateur, et un être incontrôlable qui nuit à sa santé.  Il décrit le mystère de l’invisible comme étant  un être destructif que seulement lui comprendra tant que ça résidera dans sa folie.          

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